De plus en plus de gens consultent en psychologie à la suite d’une expérience traumatisante.
Des exemples?
un accident de voiture ;
des abus sexuels ou physiques ;
avoir assisté à une catastrophe naturelle ;
un deuil important non résolu ;
un accident du travail ;
une maladie ;
avoir survécu à une guerre.
Pour certains, la réaction après les faits prendra la forme d’un stress important, mais passager et sans impact durable sur l’estime de soi. Leur système pourra le gérer.
Des répercussions majeures
Pour d’autres personnes, le traumatisme aura des répercussions majeures sur leur fonctionnement psychologique, cognitif et physique.
Parmi les symptômes qu’on observe le plus souvent, on retrouve :
des difficultés à se concentrer ;
une humeur dépressive ;
des épisodes de stress récurrents ;
des peurs irrationnelles ;
un état de fatigue prolongé ;
des variations de l’humeur ;
de l’agitation motrice ;
de l’irritabilité ;
de l’insomnie ;
des cauchemars liés au traumatisme ;
des flashs qui reproduisent les événements ;
la sensation d’être déconnecté de son corps ;
une attitude d’isolement ;
de l’évitement par rapport à certaines situations ou événements ;
des problèmes de toxicomanie ;
des idées suicidaires.
Si de tels symptômes se manifestent, il est essentiel d’agir et, au besoin, de consulter à la fois un médecin et un psychothérapeute pour optimiser les chances de surmonter le traumatisme.